Padoque d'Odin

Surintendant de l’Ordre Messages : 184 Date d'inscription : 27/10/2007

Ferdinant, après avoir prester serment et choisi de devenir compagnon de chasse, avait amené icelieu l'un des étalons ayant appartenu à son père. Celui-ci était son préféré : Odin.

Un étalon noir, mais au bas des jambes blanc. Il était de taille moyenne, et encore jeune puisqu'il n'avait à peine 3 ans. Il fut le dernier destrier aquis par son regretté père, ce pourquoi Ferdinant lui vouait une attention particulière.

Odin avait le sang chaud, ce qui en avait déjà fait voir de toutes les couleurs à Ferdinant. Mais le jeune baron était bon cavalier. Il montait depuis son plus jeune âge grâce à son père et l'amour que celui-ci portait aux chevaux et à l'art équestre.

Padoque d'Odin Futuros-etalon-noir

Alors qu'Antonio venait de terminer de s'occuper de son fidèle Tauren pour la journée, il croisa dans un box non loin le baron de Villemontée. Il s'avance donc vers l'entrée du padoque :

Bonsoir Baron, comment vous portez-vous ? C'est un beau compagnon de chasse que nous avons là, où l'avez-vous trouvez ? Je tenais à vous remercier de l'aide que vous m'avez apportée au sujet de mon intégration. Je ne puis vous offrir un verre en ces lieux mais j'espère vous croiser prochainement au comptoir de la taverne pour vous remercier comme il se doit.

Le jeune Antonio sourit.

Surintendant de l’Ordre Messages : 184 Date d'inscription : 27/10/2007

Brossant son destrier, Ferdinant reconnait une voix familière mais qu'il n'avait plus entendu depuis longtemps.

Sieur Antonio ! Cher ami, quel plaisir de vous voir icelieu. Vous avez donc convaincu le Conseil, j'en suis ravi !

Mon destrier ? Il me vient de feu mon père. Il l'a ramené d'un voyage en Normandie, terre natale de feue ma mère. Il fut sa dernière aquisition équestre, et probablement la meilleure monture qu'il ait possédé. Mais il a surtout à mes yeux une valeur toute autre que financière.

Oh, je n'ai point fait grand chose, si ce n'est parler de vous au Grand Maistre. Le reste, vous ne le devez qu'à vous ! Mais soit, je serais ravi de boire un verre avec vous. Cela fait si longtemps à présent. Les années où nous partagions jeux et rigolade sont loin à présent...

Sur le chemin du Castel il y a une petite auberge ou les membres et visiteurs ont leur habitudes, nous pouvons nous y rendre si vous le désirez. Je m'apprêtais justement à sortir mon fidèle compagnon.

En effet, j'ai ouïe dire qu'une auberge se trouvait non loin de la forteresse mais estant arrivé icelieu dans une obscurité des plus sombres je n'ai point eu l'occasion de la remarquer et de m'y rendre. Ainsi je pense que le moment est adapté pour aller remplir nos gosiers d'un bon vin du pays, de plus que c'est en vostre bonne compagnie.
Mais avant de prendre le chemin de cette taverne il me faut sortir Tauren de son padoque, je reviens.

Le jeune Antonio s'en retourne vers le box de son cheval et l'équipe rapidemment d'une scelle. Il prends avec lui son épée au cas où, comme disait toujours son père. Puis il amène son cheval jusqu'à la sortie de l'écurie où l'attends le Baron et monte sur le dos de l'animal.

J'ai préféré prendre mon épée, n'oublions point que nous sommes pour le moment protégé mais que d'ici quelques minutes nous serons au dehors des grandes murailles et que les loups rodent.

Il donne un coup de pieds et le cheval part au galop en direction de l'auverge.

Surintendant de l’Ordre Messages : 184 Date d'inscription : 27/10/2007

Tandis qu'Antonio alla chercher son cheval, Ferdinant arnacha le sien. Lorsque son ami vint le rejoindre, Ferdinant était prêt, sur son destrier.

Oui il vaut mieux. Dans ces campagnes, on ne sait jamais sur qui on tombe... Je passerai par le corps de garde afin de récupérer la mienne.

Bien, je vais vous montrer où se trouve cette auberge. Rassurez-vous elle n'est point loin, quelques lieues du Castel seulement.

Puis tous deux se mirent en route.

Surintendant de l’Ordre Messages : 184 Date d'inscription : 27/10/2007

Le jeune Ferdinant profita d'une douce après-midi pour s'occupper de son cheval.

Il arriva aux écuries, et sourit à la vue du destrier. Tant de souvenirs qui soudain remontaient à la surface...

Il caressa l'animal de longues minutes. Il alla ensuite rajouter un peu d'eau avant de changer la paille du padoque.

Enfin, il alla trouver le palfrenier afin de lui donner quelques écus pour son travail accompli quotidiennement. Tous deux discutèrent quelques instants, après quoi le jeune baron se dirigea vers la salle principale du Castel.

» Padoque de Ong Shu
» Padoque de Weiss