Ecurie de Tauren

Depuis son arrivée au Castel Antonio n'avait point revu son fidèle cheval Tauren et celà lui manquait un peu. Il fût forcé de le prester au garde de l'entrée, à contre coeur ne pouvant entrer dans les bâtiments avec, mais c'estait ainsi que la règle le voulait. Après s'estre dépêché dans la salle principale pour y tenir un petit discours sur sa présentation il n'estait point ressorti dehors, préférant attendre à l'intérieur des lieux. Quelques heures passèrent après lesquelles ont lui confirma que le jeune homme intégré dès à présent l'Ordre de Sainct-Michel.
Ensuite il alla prester serment envers l'Ordre, Le Grand Maistre ainsi que le Roy et sa famille Royale puis pouvait par la suite retrouver son compagnon de marche. Il sort donc du château pour se rendre aux écuries, lieu où résidaient tous les chevaux des membres, et fût surpris de l'entretien qu'on leur apportaient. Celà ne pouvait qu'estre bénéfique aux animaux et leur efficacité s'améliorerait grâce à ce suivit. Ne sachant dans quel box se trouvait Tauren il regardait autour de lui les beaux chevaux nobles et attendait de pouvoir apercevoir le sien. Quand il le vît il se pressa d'aller le rejoindre afin de lui donner quelques caresses, heureux de le retrouver.

Eh bien je vois qu'il y a du travail, le garde m'avait pourtant assuré qu'icelieu la paille et l'eau te serais fourni mais à ce que j'observe la parole n'a point estait tenue de sa part...Je vais donc m'occuper de ce qui te manques.

Il sort à l'exterieur attrapant au passage deux sceaux et se dirige vers le ruisseau coulant non loin de là pour les remplir. Il revient les déposent dans le box et commence à rassembler un tas de paille pour la nourriture de l'animal.

Antonio avait un semblant de repos qui s'annoncait à lui en ce début de soirée, il n'avait aucune occupation particulière. Les devoirs de l'Ambassade ayant été fait et son champs ayant été travaillé auparavant, il pouvait se divertir un peu. Il se dirigea donc vers le chemin de l'entrée du Castel pour rejoindre les écuries et s'occuper de son cheval. Il avait adapté sa garde robe à la tâche et pouvait se salir sans crier.
Il entre dans le box de Tauren, passe quelques minutes à le contempler et l'équipe pour partir en promenade.

Quelques minutes après, les deux amis s'enfoncent dans les jardins du Castel.

La promenade dans les jardins du Castel avait duré plus longtemps que prévu car le jeune Antonio s'estait entrainé à manier son épée tout en estant à cheval. Il estait relativement habile avec cette arme, il savait placer les coups où il le fallait et surtout quand il le fallait. Son cheval Tauren estait parfaitement coordoné avec les gestes de son maistre. Mais s'il estait doué pour l'épée, il se ridiculisait lorsqu'il tenait dans les mains un arc ou bien mesme une lance...

Bien je pense qu'il est largement temps de rebrousser chemin et de nous diriger aux écuries, les palfreniers risquent de s'inquièter de nostre trop longue absence en le cas contraire. Allons-y !

Le cavalier traversa les magnifiques jardins de l'Ordre au galop pour rejoindre les écuries.

La promenade dans les jardins du Castel avait duré plus longtemps que prévu car le jeune Antonio s'estait entrainé à manier son épée tout en estant à cheval. Il estait relativement habile avec cette arme, il savait placer les coups où il le fallait et surtout quand il le fallait. Son cheval Tauren estait parfaitement coordoné avec les gestes de son maistre. Mais s'il estait doué pour l'épée, il se ridiculisait lorsqu'il tenait dans les mains un arc ou bien mesme une lance...

Bien je pense qu'il est largement temps de rebrousser chemin et de nous diriger aux écuries, les palfreniers risquent de s'inquièter de nostre trop longue absence en le cas contraire. Allons-y !

Le cavalier traversa les magnifiques jardins de l'Ordre au galop pour rejoindre les écuries.

Les derniers jours furent forts longs, forts éprouvants et il regrettait quelque peu de ne point avoir eté plus présent. La maladie dont il fut victime estait soudaine et causait des ravages au niveau de son état. Il faut croire que sa jeunesse, son ambition et sa volonté d'aider autrui l'emportèrent sur la science et les dures lois de la nature. Les médecins n'en estaient point revenus, après une semaine de souffrance, il fallut un jour à peine pour se remettre sur pattes, un vrai miracle.
Son cheval lui avait manqué et il n'avait pu s'en occuper comme à son habitude. Un palfrenier avait sa confience pour maintenir la santé de l'animal, il devait le nourrir, le faire boire et le promener chaque jour.
De retour au Castel il se dirigea vers les écuries et fit le necessaire pour entretenir son compagnon de marche.